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Ibrahim Traoré évoque « l’albinos noir » et fait trembler les certitudes du monde

Devant un parterre de journalistes médusés, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a prononcé la semaine dernière une phrase dont la portée dépasse largement les frontières du Burkina Faso. Avec calme et assurance, il a déclaré :

« Bientôt, nous parlerons d’un albinos noir qui va apparaître. »

Un silence épais suivit cette formule sibylline. Interrogé sur le sens de ses propos, le jeune chef d’État révolutionnaire s’est contenté d’ajouter :

« Ne me demandez pas de quoi il s’agit. Je pense que vous comprendrez plus tard. La guerre va finir, et ce, très vite. »

Ces mots, mystérieux et presque prophétiques, ont aussitôt déclenché une onde de réflexion mondiale. En moins de vingt-quatre heures, intellectuels, analystes politiques et médias internationaux s’en sont emparés. De Paris à Washington, en passant par Bamako et Moscou, les plateaux de télévision et les forums en ligne bruissent d’interprétations.

Un message codé ou une vision symbolique ?

Pour certains observateurs, l’expression « albinos noir » serait une métaphore politique : celle d’une transformation inattendue au cœur même du continent africain, un renversement des codes où l’impossible devient possible. D’autres y voient un message messianique, annonçant la fin des guerres imposées et le triomphe de la souveraineté des peuples.

À Ouagadougou, la population, elle, s’interroge mais ne doute pas du sens caché de son président. Dans les cafés, sur les réseaux sociaux et jusque dans les casernes, les hypothèses fusent : l’« albinos noir » serait-il une figure de l’unité africaine ? Le symbole d’une vérité que nul ne peut dissimuler ? Ou encore la métaphore d’un peuple blessé mais éveillé à sa propre lumière ?

Une parole qui transcende la politique

Quelles que soient les interprétations, la déclaration du capitaine Traoré s’inscrit dans une continuité : celle d’un dirigeant qui cherche à bousculer les schémas établis et à faire réfléchir au-delà des armes et des alliances. En prononçant cette phrase, le président du Faso semble vouloir rappeler que la guerre — qu’elle soit militaire, idéologique ou psychologique — touche à sa fin, et que le monde s’apprête à entrer dans une ère nouvelle.

L’attente d’une révélation

La journaliste à l’origine de cette interview, encore troublée par la scène, confie avoir perçu dans le regard du président « la conviction d’un homme qui sait quelque chose que le monde ignore encore ».

La journaliste à l’origine de l’interview.

Depuis, les esprits restent suspendus à cette énigme : qui est donc cet “albinos noir” ?
Un homme ? Un symbole ? Un événement ?
Peut-être, tout simplement, la lumière inattendue qui jaillira des ténèbres de la guerre.

En attendant que le voile se lève, le monde retient son souffle, conscient que ces mots simples mais denses pourraient bien marquer un tournant dans l’histoire contemporaine de l’Afrique.

Lire aussi : Burkina Faso : Ibrahim Traoré honore les légendes du football africain

MAGNAWOE koudjo
MAGNAWOE koudjo

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